583

Notes sur l’introduction
générale

P. 8

1 « 1 000 f., ce qui est, en somme, le prix que je payais rue de Sèvres, avec la chambre de la mère Thybaut », précise-t-il à Landry le 7 septembre 1901 (Ms Lambert 58, fo 154).

2 Lettre à Henri Allais, 6 septembre 1901, Mercure de France, 1er septembre 1951, p. 79.

P. 9

1 À Jules Bois, 19 septembre 1901, Ms Lambert 67, fo 162.

2 Lettre à Marie de Villermont, « Une amitié de J.-K. Huysmans. Lettres inédites à Marie de Villermont (1897-1907) », éd. Joseph Daoust, Revue des Sciences humaines, avril-septembre 1960, p. 349.

3 Lettre à Mme Huc, 24 janvier 1902, Ms Lambert 24, fo 24/3.

4 Carnet vert, p. 136, éd. Sylvie Duran, Étude et projet d’édition du Carnet vert de Joris-Karl Huysmans, thèse de doctorat préparée sous la direction du professeur Pierre Jourde et soutenu en 2004 devant l’université de Grenoble III.

5 Lettre à Dom Ernest Micheau, 4 janvier 1904, Ms Lambert 77, fo 10.

P. 10

1 Trois ombres, Paris, Flammarion, 1932, p. 64-65.

2 Lettre du 5 mars 1904, Ms Lambert 60, fo 296.

3 Lettre à Dom Ernest Micheau, 30 ou 31 juillet 1904, Ms Lambert 77, fo 9.

P. 11

1 À Léon Leclaire, 26 septembre 1904, Ms Lambert 60, fo 310.

2 À l’abbé Daniel Fontaine, 27 juillet 1905, Ms Lambert 47, fo 73.

P. 12

1 Lettres inédites à Arij Prins, éd. Louis Gillet, Genève, Droz, 1977, p. 369. Sur les revenus qu’il en escompte, on lira Gilles Bonnet, « J.-K. Huysmans et le grisbi Goncourt », Cahiers Jules et Edmond de Goncourt, no 10, 2003, p. 35-44.

2 Ms Lambert 61, fo 263.

3 J.-K. Huysmans et Cécile Bruyère. Correspondance, éd. Philippe Barascud, Paris, Éditions du Sandre, 2009, p. 97.

4 Ms Lambert 65, fo 159.

P. 13

1 Lettre du 4 novembre 1903 au critique belge Arnold Goffin, Ms Lambert 48, fo 154.

584

2 Lettre à Henri d’Hennezel, 19 décembre 1903, Ms Lambert 66, fo 23. L’année suivante, il se plaindra auprès de Marie de Villermont de devoir lire deux romans par jour (lettre du 25 décembre 1904, éd. citée, p. 366).

3 Interviews, Jean-Marie Seillan éd., Paris, Champion, 2002, p. 385.

4 Il y décrivait « l’horrible grimace de l’ouvrier des cercles catholiques, de l’affreux blousard dont l’haleine dément l’onction mal arrêtée des traits. » (éd. Crès, t. XIII, I, chap. vi, p. 152).

5 C’était l’avis de Léon Leclaire, qui tenait son livre, Huysmans intime, pour « une suite d’erreurs » (lettre à Joanny Bricaud, début avril 1913, Ms Lambert 108).

6 Il écrit dans Le vrai J.-K. Huysmans : « Ses derniers projets se résument en un roman qu’il aurait appelé Un soir, et divisé en trois chapitres : le 1er et le 3e très courts, le second constituant à lui seul tout le corps du volume » (Paris, Charles Bosse, 1912, p. 235).

7 Éditions Classiques Garnier, 2020, tome IX, p. 405 et suiv.

P. 14

1 « Je connais la presse profane, elle n’est pas bien propre, mais là vraiment, je n’ai jamais vu une mauvaise foi, une perfidie pareilles à celles des journaux catholiques. Sans parler de leur incompréhension et de leur bêtise ! » (lettre à Dom Thomasson de Gournay, 13 avril 1898, Ms Lambert 61, fo 131). Jugement identique cinq ans plus tard :« Les feuilles catholiques n’insèrent que les attaques contre les leurs et jamais les réponses. À moins, alors, qu’elles ne fassent comme certains journaux qui tronquent les lettres et changent volontiers les mots » (lettre à Henri d’Hennezel, 8 mai 1903, Ms Lambert 66, fo 12).

2 Interviews, op. cit., p. 56.

3 Il lit l’Étude nouvelle sur l’hérédité (Paris, Chacornac, 1903) de l’astrologue Paul Flambart, qui apporte des arguments en faveur de Naundorff, rencontre la chiromancienne Mme de Thèbes, qui lui demande un moulage de sa main, revient sur la symbolique alchimique de Notre-Dame de Paris.

4 Journal de l’abbé Mugnier, éd. Marcel Billot, Ghislain de Diesbach et Jean d’Hendecourt, Paris, Mercure de France, 1985, p. 153.

5 Les dernières années de J.-K. Huysmans, Paris, Albin Michel, 1941, p. 126-127.

P. 16

1 Lettre à Léon Leclaire, 24 février 1905, Ms Lambert 60, fo 334.

2 Lettre à Gustave Boucher, 19 octobre 1898, BSH, no 64-65, 1977, p. 66.

3 Lettre à Arij Prins, 24 juin 1898, éd. citée, p. 325.

4 Lettre à G. Landry, Ms Lambert 58, fo 174.

P. 17

1 Lettre à Léon Leclaire, 12 mars 1904, Ms Lambert 60, fo 297.

2 Lettre au même, ibid., fo 331-332.

3 Trois Ombres : J. K. Huysmans. Jules Lemaitre. Anatole France, Paris, Flammarion, 1932.

4 Lettre à Léon Leclaire, 24 mars 1904, Ms Lambert 60, fo 298.

P. 18

1 Ibid., 24 mars 1904, fo 298-299.

2 Sur ce personnage, on lira Henri Pevel, Henriette “pour l’amour de Huysmans”, Villelongue d’Aude, Atelier du Gué, 1984.

3 Lettre à Adolphe Berthet, Ms Lambert 67, fo 91-92.

585

4 Lettre à Léon Leclaire, 11 novembre 1903, Ms Lambert 60, fo 284.

5 Au même, 29 octobre 1904, Ms Lambert 60, fo 306.

P. 19

1 Au même, ibid., 11 décembre 1904, Ms Lambert 60, fo 322-323.

2 Le dossier constitué par Pierre Lambert sur cette affaire est consultable à la Bibliothèque de l’Arsenal sous la cote Ms Lambert 88.

3 Lettre à Leclaire, 25 juillet 1902, Ms Lambert 60, fo 237.

4 Au même, 28 novembre 1903, Ms Lambert 60, fo 287.

P. 20

1 Remy de Gourmont, Le Latin mystique, les poètes de l’antiphonaire et la symbolique au Moyen Âge, Édition du Mercure de France, Paris, 1892. Préface de J.-K. Huysmans, p. x, reprise dans En marge, Paris, éd. du Griot, 1991, p. 82.

2 Ms Lambert 60, fo 321 à 324.

3 Carnet vert, éd. citée, p. 137.

4 Lucien Descaves, Les Dernières Années de J.-K. Huysmans, Paris, Albin Michel, 1941, p. 176. Est-ce à quoi Descaves fait allusion lorsqu’il écrit, à propos de Huysmans dans l’été 1903 : « En attendant, il vagabonde je ne sais où, car il cèle ses pseudo-solitudes. » ? (« Notes de Lucien Descaves sur les dernières années de Huysmans », éd. Samuel Lair, BSH, no 109, 2016, p. 79).

5 Introduction aux Prières et pensées chrétiennes de J. K. Huysmans, Lyon, H. Lardanchet, 1910, p. 18.

6 Lettre à Henry Céard, 19 mars 1903, Ms Lambert 46, fo 10.

7 Le mot revient à cette époque dans plusieurs de ses lettres. « On n’élargit pas l’esprit des moines et des nonnes. Nous avons quelque chose en nous et sur nous d’indépendant qui nous ferait toujours tenir en méfiance. » (lettre à Mme Godefroy, 2 décembre 1902, Ms Lambert 48, fo 65) ; « Ils [les catholiques] n’acceptent pas du tout les indépendants qui leur disent les dures vérités. » (lettre à Henry Céard, 19 mars 1903, Ms Lambert 46, fo 10) ; « le parti catholique […] n’aime guère les indépendants » (lettre à Louis Dimier, ca 5 mai 1903, BSH, no 46, 1963, p. 73-76).

P. 21

1 Lettre à Marie de Villermont, 9 janvier 1903, éd. citée, p. 355.

2 À Grillot de Givry, 17 mars 1903 : « L’Index ? – ah ! j’y ai passé pour La Cathédrale et ai eu bien du mal à m’en tirer. Dès qu’un de mes livres paraît, je suis dénoncé par de bons prêtres et des laïques que ma franchise exaspère. / Et après ? J’ai des chances énormes d’écoper avec L’Oblat. Je me soumettrai, évidemment – mais le volume n’en existera pas moins avec ses vérités qui étaient nécessaires à dire. » (Ms Lambert 21, fo 21/29).

3 Il l’écrit de Lourdes le 18 mars à l’abbé Broussolle : « que les sacristes soient contents ou non, il faudra bien qu’ils avalent le volume à bonne dose ; et je me turlututue de ce que pourra dire L’Univers ou La Vérité. Ils ne peuvent enrayer rien du tout, pas plus d’ailleurs qu’ils ne pourraient rien lancer » (Ms Lambert 66, fo 22).

P. 22

1 Lettre à Leclaire, 12 janvier 1903, Ms Lambert 60, fo 258-259. Une venette est une diarrhée provoquée par la peur.

2 À Adolphe Berthet, Ms Lambert 67, fo 97.

586

3 À Léon Leclaire, 4 avril 1903, Ms Lambert 60, fo 264. Il se félicitera l’année suivante de l’effet produit : « Ah ! il n’oublie pas les pains que lui a valu sa sotte protestation ! » (au même, 18 janvier 1904, Ms Lambert 60, fo 290).

4 « J’ai eu de fortes tentations de répondre au factum du vieil abbé. Je ne crois même pas avoir eu dans ma vie de tentation plus obsédante et plus longue », explique-t-il à Marie de Villermont le 21 avril 1903 (éd. citée, p. 360).

5 « Ma patience est à bout. J’ai voulu, par charité, depuis un mois, ne rien répondre, malgré les demandes ; cette fois, j’écris au Temps. » (à Leclaire, 1er mai 1903, Ms Lambert 60, fo 272).

6 Lettre du 6 mai 1903, Ms Lambert 24, fo 24/4. Même propos, le même jour, dans une lettre à Mme Godefroy, la Mlle de Garambois du roman.

P. 23

1 Lettre à Leclaire, 29 avril 1904, Ms Lambert 60, fo 302.

2 Au même, 13 mai 1904, Ms Lambert 60, fo 304.

3 Il emploie l’expression dans la lettre à Henri d’Hennezel, fin décembre 1904, Ms Lambert 66, fo 34.

4 Propos recueillis par Raphaël Marchand et publiés le 3 août, Interviews, op. cit., p. 420-424.

P. 24

1 Ms Lambert 24, fo 24/5.

2 Il l’a fait une première fois après la publication d’À rebours sous la forme d’une interview imaginaire signée du nom de sa compagne A. Meunier, une seconde après celle de La Cathédrale pour aider l’abbé Mugnier dans la rédaction de sa préface aux Pages catholiques.

3 Ms Lambert 60, fo 302.

P. 25

1 Ms Lambert 66, fo 109.

2 Lettre à Marie de Villermont, 4 octobre 1903, éd. citée, p. 363.

P. 26

1 Le 8 février 1904, Ms Lambert 24, fo 24/5.

P. 27

1 Voir Les Foules de Lourdes, éd. Classiques Garnier, 2020, t. IX, p. 170-173.

P. 28

1 Ms Lambert 60, fo 299.