Résumé : La coexistence de langues dans l’Alcazar de Séville construit par Pierre Ier de Castille peut être considérée comme une forme de traduction. Mais son but n’est pas de faire en sorte que tous puissent comprendre ce qui est écrit. Il s’agit avant tout d’un procédé rhétorique, d’un instrument symbolique par l’intermédiaire duquel la royauté se pose comme hégémonique.