Résumé : Une étrange scène de chasse occupe le chapitre II des Paysans de Balzac, conduite par un « Diogène campagnard » et destinée à harponner un parisien de passage, le journaliste Blondet. Cet animal « qu’on appelle au féminin une loutre [sic] » en est la fuyante héroïne. Nous tenterons de montrer la portée symbolique de l’épisode, conçu comme noyau d’une réflexion sur l’avoir et sur les pouvoirs de la fiction.