Résumé : Cette étude remplace des généalogies peu contestées de Claude-François Menestrier par un examen du quartier dans lequel il a grandi et met en question la légende de son ascendance aristocratique en suggérant une origine plus populaire. Elle permet de réévaluer des origines sociales des populations qui fréquentaient les collèges jésuites ainsi que de ceux qui entraient dans la Société de Jésus. L’histoire sociale, voire économique, peut ainsi fournir des ressources cruciales pour la révision des domaines touchant à l’histoire des mentalités.