Résumé : Guibert n’est ni le premier ni le dernier à s’intéresser à la figure de Pasolini, qui exerce, depuis son assassinat en 1975, un attrait toujours plus fort sur un grand nombre d’artistes contemporains. Guibert, pourtant, nous apporte une perspective singulière sur cet attrait, qui prend forme à travers de nouvelles œuvres. Cette analyse se propose de mettre en lumière le rapport qu’il entretient à Pier Paolo Pasolini à travers ses œuvres littéraires et photographiques, suivant un ordre chronologique jusqu’à son séjour à la Villa Médicis.