Résumé : Sous ce beau titre aux accents yourcenariens, un texte bref qui fait pendant à « Son dernier visage » dans la mesure où, publié lui aussi en 1936, il est en grande partie consacré à la perte du père. Malgré une apparente hétérogénéité entraînant une caractérisation générique des plus difficiles – dimensions poétique, mystificatrice, autobiographique, métadiscursive, éthique et politique – « La Ville des hirondelles » présente selon nous une puissante cohérence, reflet de la poétique gionienne.