Résumé :Scènes de la vie orientale (1848) relève d’une « politique de la littérature ». Au-delà des contextualités historiques et idéologiques, l’œuvre se révèle politique par le partage de l’intime que nous offre le voyageur européen, inventant le quotidien, en cherchant à se marier. À ces expériences répond l’« histoire [révolutionnaire] du Calife Hakem » donnant en partage l’exemple d’un religieux tolérant et juste. Le protagoniste, dépaysé, rentrera lucide sur les pesanteurs sociales.