Résumé : Le but de cette étude est de montrer comment, dans l’écriture sandienne, le lit fait l’objet d’un traitement paradigmatique. Loin d’être réduit à sa seule matérialité d’objet, à sa seule potentialité d’une gratuité descriptive, il s’enrichit d’efflorescences symboliques propres à irriguer une sociopoétique, une ethnopoétique et une fantasmatique du Moi. Il est donc étroitement intégré au processus de la création littéraire.