Résumé : Cet article s’intéresse à ce qui, dans Glas de Derrida, invite à une réflexion sur la signature, le corpus et le propre. La contribution en vient à cette proposition qu’en littérature, la signature « signe-et-rature » plus qu’elle n’affirme ou ne s’affirme. Androgyne et anti-génétique, elle combine « « la vie la mort » dans sa souscription.