Résumé : Les familles présentées par Christine dans la Cité des dames ne correspondent que rarement à la famille « parfaite » néo-aristotélicienne dépeinte par Gilles de Rome, qui se compose d’un mari, son épouse, ses enfants, et leurs serviteurs. Bien que la famille « traditionnelle » soit souvent fragmentée ou en crise, les femmes jouent un rôle important comme protectrices d’une famille recomposée, depuis les Amazones au début du livre jusqu’aux saintes dans le troisième volume.