Résumé : Notre Fantastique d’incertitude est presque absent des récits grecs antiques concernant du surnaturel. Une fois que la ferveur des croyants et leur utilité sociale les avaient validés, croyants et incroyants en constataient des versions différentes, dues au fait, reconnu, que les auteurs tentaient d’y traduire du divin en utilisant leur phantastikè (capacité de mettre en image). Le mûthos s’avère avoir été le point de jonction d’une vérité entre réel naturel, réel surnaturel et réel imaginé.