Résumé : Les récits post-apocalyptiques inventent des configurations radicales grâce auxquelles le fantastique, l’horreur ou la science-fiction interrogent les communautés tentant de survivre selon les conditions de précarité de leur nouveau milieu. Un grand effet de « simplification » ramène alors à l’origine même des liens, interrogeant, dans l’horreur de la fiction du zombie, comme dans les déserts et les ruines de l’Après, ce qui est encore susceptible de faire communauté humaine et projet collectif.