Résumé : Cet article étudie les apports de la traduction et de la description à la pratique de la définition dans le récit de voyage, en examinant l’exemple du Journal intime de Barnabooth de Valery Larbaud. Déjouant les attentes de référentialité, d’exactitude, de complétude et de transparence liées à la traduction et à la description, Valery Larbaud y explore la possibilité d’une définition oblique et poétique.