Résumé : Cet article suggère que le texte du 32e chapitre du Pantagruel, inspiré peut-être de la mappemonde d’Oronce Fine, parue dans un ouvrage qu’aurait lu Rabelais, « introjecte » l’inconnu, l’assimile, et enfin reconnaît ce qui serait un effet premier de globalisation à l’ère des voyages océaniques.