Résumé : Milan était le lieu où l'ontologie royale pouvait pleinement s'exprimer. Or, en basculant dans ce monde total et rêvé, François Ier s'offrait à la nasse grande ouverte des champs de bataille lombards. Les Lettres pouvaient alors se recharger du choc bien réel des armes de l'autre côté des Alpes et contribuer à l'entretenir voire à l'appeler mais, parfois, aussi, le contester.