Résumé : À la fin du xixe et au début du xxe siècle les Fioretti jouirent d’un grand succès auprès d’un public plus ou moins croyant non seulement en raison des valeurs franciscaines secondaires à savoir la vie en harmonie avec la nature et les hommes mais encore grâce à l’attitude positive du Poverello envers la mort et la souffrance. Cet article montre que c’est justement cette disposition du Saint qui a poussé par exemple les Goll, Liszt et Mirò à l’intégrer dans leurs œuvres.