Résumé : L’article part de la perception de saint François comme porteur d’interrogations post-modernes, comme sur la relation de l’homme et de l’animal, dont il est question dans des œuvres d’O. Messiaen, K. Smith, A. Kahrs et M. Boezem. Cette approche de l’héritage franciscain permet aux artistes de s’intéresser à l’articulation entre matérialité et spiritualité, à une définition de l’art comme communication pré-rationnelle. La sensibilité à l’animal de François peut être comprise comme une expérience cognitive.