Résumé : Autour de 1900, le Poverello a passionné les artistes symbolistes, et notamment deux peintres, dont les rapports avec le catholicisme sont peu clairs. Le français Henri Martin représente saint François comme il met en scène à la même époque la figure mythologique d’Orphée, peut-être avec un esprit de dérision. Le belge Léon Frédéric montre lui le saint qui communique avec une grande variété d’animaux, également comme un nouvel Orphée. Faut-il en déduire qu’une pensée panthéiste sous-tend ses œuvres ?