Résumé : La pratique du florilège ne concerne pas seulement la poésie, mais aussi la nouvelle de la Renaissance. L’analyse de l’unique exemplaire de La Fleur de toutes nouvelles (1547) en est un exemple remarquable et permet de réfléchir au rapport entre anthologie de nouvelles et de poèmes. La forme, les critères et les raisons qui poussent les auteurs à sélectionner les nouvelles influencent radicalement la réception du genre en France et affectent l’histoire de la nouvelle.
Nombre de pages : 403
Série : Colloques, congrès et conférences sur la Renaissance européenne, n° 118
ISBN :978-2-406-12182-4
ISSN : 2261-1851
DOI : 10.48611/isbn.978-2-406-12182-4.p.0355
Éditeur : Classiques Garnier
Array
Mots-clés : Boccace, Pétrarque, le Pogge, Pierre Sergent, Guillaume Tardif, nouvelle, facéties, anthologie, traduction