Résumé : Cet article explore le voyage de l’écrivain-panthéiste dans Pyrénées-Corse. Le jeune observateur ne maugrée pas « contre le mauvais temps », comme ses compagnons, mais se récrée « de la pluie qui tombait dans les sapins ». Pour lui, afin que l’imagination vaporise, il ne faut pas la satisfaire, mais la laisser « s’élever vers les hautes régions », et il n’est ni sans satire ni sans réalisme. Il est comme ces personnes qui partent « l’encrier rempli » et cherchent à se « donner de l’esprit ».