Résumé : L’article interroge la présence/absence dans la vie de Géricault de la figure féminine de sa tante et maîtresse, Alexandrine. Les études et biographies passent du déni total de cette relation aux fantasmes les plus extravagants. Cette femme d’à côté a répondu à l’appel du désir et a contribué de manière directe et/ou indirecte à orienter la vision et l’art de l’artiste. L’œuvre de Géricault dit ce que ce peintre romantique n’a pu ni assumer, ni nier.