Résumé : Plus de soixante ans séparent l’ébauche d’un cadre juridique entourant les pratiques en amateur de l’application encore balbutiante de la loi de 2016 relative à la Liberté de la Création, à l’Architecture et au Patrimoine. Ces textes divisent la sphère artistique en deux pôles distincts, voire opposés : l’amateur d’un côté, le professionnel de l’autre. L’observation des pratiques et des représentations permet d’isoler ce qui différencie mais aussi ce qui rassemble ces grands modèles.