Résumé : Les agendas laissés par Desrozières, inspecteur général du Théâtre-Français au début au XIXe siècle, montrent comment fonctionnait le magasin d’habits et permet d’étudier les garde-robes des comédiens, inventoriées après leur départ ou leur mort. Ainsi en est-il pour la riche garde-robe de Jean Mauduit, dit Larive, une des vedettes de la troupe à la fin du XVIIIe siècle et de celle, beaucoup plus modeste, du pensionnaire Étienne-François Gérard, disparu en 1801.