Résumé : Dans une perspective littéraire, nous interrogeons la capacité de l’écriture verbale à laisser une trace du spectacle chorégraphique, en comparant deux écritures de mêmes œuvres : celle de la danseuse, Martha Graham, et celle du critique spectateur, Edwin Denby. Cette étude comparatiste vise à mettre en lumière la spécificité de chacune de ces écritures, et à montrer en quoi cette trace textuelle repose plutôt sur un partage d’expérience que sur une simple description de la danse.