Résumé : Cet article examine la performance poussée à ses limites, dans le sens d’agir de façon subversive et non maîtrisée, à travers des scènes de travestisme et de mort, et de son rôle dans la fabrication de Sarah Bernhardt. Sa construction identitaire s’apparente à une déconstruction qui se décline à travers une panoplie d’« actes disruptifs ». Transgressant toutes les frontières pour aboutir à une condition de « troisième genre », elle reste une interprète dont le jeu était un moyen de tout surpasser.