Résumé : Cet article explore les limites épistémologiques de l’étude du jeu corporel au XVIIe siècle et l’intérêt que représente la réactivation de ces pratiques pour la revivification du répertoire dramatique français. Les sources textuelles, iconographiques et matérielles sont les seuls témoins de ces savoir-faire disparus mais l’auteur tente de montrer comment l’on peut accéder en partie à cette corporalité historique par le biais de l’expérimentation suivant l’exemple de l’archéologie expérimentale.