Résumé : Avant de quitter la scène où ils ont joué à être l’homme, les acteurs saluent. L’auteur, lui, interroge la double acception du mot salut et les modalités de passage de ce seuil. S’il laisse au machiniste et aux acteurs le soin d’élaborer les rites du finale, il s’évertue à l’écrit et sur scène à frapper au mieux les « trois coups à l’envers » qui laisseront une trace indélébile dans les esprits.