Résumé :Adieu et merci (2013) de Latifa Laâbissi utilise pour seul dispositif et décor un rideau pourpre mobile. Cet article montre que l’écriture de l’espace envisagée dans la pièce coïncide avec une interrogation du rituel théâtral. Le regard du spectateur sonde le rideau qui ouvre sur les questions de représentation(s), notamment celle des fantômes de figures historiques convoquées par la chorégraphe.