Résumé : L’article examine la façon dont Jean Lambert-wild et ses collaborateurs déjouent les impossibles physiques de la scène et développent une théâtralité qui dépasse le visuel. Par une utilisation particulière de procédés technologiques, ce théâtre remet en question la séparation entre scène et salle et développe une forme de « toucher » alternatif, étendue à la voix, qui s’attache à construire une communauté de spectateurs : une façon d’être ensemble.