Résumé : Suite à l’arrivée de Giacomo Torelli à la cour de France et la représentation de la Finta Pazza s’impose une collaboration de plus en plus étroite entre artistes et auteurs, qui souvent aboutit à des compromis en matière d’écriture. De 1645 à 1655, la mécanisation des théâtres, corrélée à l’admiration du public envers le machiniste, explique la naissance d’un spectacle aux contraintes d’écriture pointues devenu le symbole des Modernes et du règne louis-quatorzien : la tragédie en musique.