Résumé : Après avoir rappelé les difficultés liées à l’évaluation de « l’écriture pour la scène » des jeux brefs du xiiie au xve siècle, et les statuts problématiques des auteurs et des textes de farces au xvie siècle, cet article étudie le phénomène mal connu des écritures plurielles suscitées par les farces en moyen français : cas de pièces écrites à plusieurs mains, cas où plusieurs versions d’une farce ont été conservées, problèmes des interprétations que suscite ce phénomène.