Résumé : La première moitié du vingtième siècle est l’heure, en France, d’une redécouverte de l’œuvre de Shakespeare à la scène. Jacques Copeau est à la fois le témoin et l’artisan de ce renouveau. Critique dramatique à ses débuts, spectateur des scènes parisiennes comme londoniennes, Copeau scrute les défauts et les innovations du théâtre de la Belle Époque. C’est sous l’égide de Shakespeare qu’il place le théâtre Vieux-Colombier. Critique, metteur en scène, traducteur, Copeau mesure à Shakespeare son art et sa pensée.