Résumé : Cet article étudie la misogynie, le sadisme et le fétichisme de la magie au xixe siècle. Il examine, en outre, comment, après la vague de féminisme des années 1970 dans les milieux universitaires, la critique s’est montrée peu encline à s’attaquer de front au caractère foncièrement « anti-femme » de la magie.