Résumé : En 2010, deux spectacles de danse (Danses libres de François Chaignaud et Cecilia Bengolea ; Une semaine d’art en Avignon d’Olivia Grandville) utilisent des images filmées réactivant le sentiment de liberté, en lien avec une communauté utopique. Pour le premier spectacle, il s’agit de l’entre-deux-guerres ; pour le second, de la fin des années soixante. En examinant ces images avec leur contexte et leur place dans l’histoire des arts vivants, c’est la question de l’art et de la politique qui surgit.