Résumé : Madame Mallarmé apparaît dans trois poèmes. « Brise marine » associe l’image de la jeune femme à deux autres tableaux qui symbolisent une manière d’écrire limpide. Dans « Don du poème » Marie est décrite de façon désavantageuse. Mallarmé prend ses distances non avec sa femme mais avec ses anciens poèmes qu’il qualifie d’« horrible naissance ». « Éventail de Madame Mallarmé » peut être lu comme une taquinerie si on y voit un contraste entre deux façons de s’éventer dont l’une est prosaïque et l’autre poétique.