Résumé : Cet article examine les traductions anglaises faites par le peintre et critique d’art, Roger Fry, de certaines poésies de Mallarmé. Il considère celles-ci surtout à la lumière des préoccupations personnelles du traducteur, notamment sa fascination avec la possibilité de réaliser un cubsime littéraire qu’il associe avec l’œuvre de Mallarmé.