Résumé : Parmi les nombreuses études consacrées à Stéphane Mallarmé, il n’y en a pas beaucoup qui spécifiquement s’intéressent à son vocabulaire, surtout du point de vue historique. Cet article se demande si la correspondance de Mallarmé contient des mots et des expressions susceptibles d’enrichir nos instruments de travail et si celle-ci par conséquent mérite d’être étudiée systématiquement par des lexicographes.