Résumé : Le Chant de la Contingence est lu ici au fil conducteur du mouvement exitus/reditus et de la différence entre production (de l’Être), distinction (entre les êtres), ornement (manière d’être des créatures) et conservation de la Somme théologique de Thomas d’Aquin. Ces catégories sont reprises et radicalement subverties, subversion dont la portée sera interrogée au regard des déterminations ultérieures de la contingence chez Sartre.