Résumé : Cet article introduit le concept d’idiodiversité dans le sillage du concept d’idiotexte proposé par Bernard Stiegler. Ayant le travail de traduction pour mode opératoire privilégié, l’idiodiversité peut être vue comme une alternative à la traduction devenue calcul automatique. Or, cet article se veut surtout un témoignage de traducteur et un hommage à la pensée de Bernard Stiegler, fait depuis l’espace même de la traduction de ses travaux.