Résumé : L’article s’inscrit dans la perspective de l’économie contributive, il analyse l’articulation entre une comptabilité microéconomique qui s’appuie sur la construction collective d’une nouvelle relation entre le capital et la préservation des écosystèmes, et une plateforme multi-acteurs. Il plaide pour l’association de ces deux outils afin de favoriser la gouvernance des communs.