Résumé : Le « techno-imaginaire » du réseau demeure un intermonde entre technique et l’organisme. Dans ses variations, il demeure structuré selon un triptyque temps/ordre/corps dont la logique demeure invariante et fonctionne sur la longue durée, comme les mythes. Les techniques changent mais les représentations collectives se répètent. Ces techno-mythes sont nécessaires aussi bien à l’invention qu’à la socialisation des techniques. Ils donnent sens aux pratiques et à la puissance technologique.