Résumé : L’économie de l’intention repose sur des algorithmes. Elle participe d’un mouvement qui cherche à cerner les intentions des internautes. Avec elle, se déploie un capitalisme cognitif qui repose sur un nouveau régime documentaire que nous nommons « hyperdocumentarité ». Ceci implique une dimension politique de l’économie qui engage l’hyperdocumentarité. Il s’agit de penser les relations entre le volontaire et l’involontaire, ce qui nous amène à réévaluer la question du consentement.