Résumé : Cet article explore les apories propres à Emoji Dick, traduction iconoclaste en émoticônes du Moby Dick de Melville et récit exemplaire paradoxal du paradigme traductif : somme romanesque sans romanesque, lingua franca résistant au déchiffrement, artefact de l’ère numérique au vocabulaire puisé dans les ressources électroniques qui s’en remet pourtant au papier pour assurer sa diffusion.