Abstract: Cette contribution convoque les textes de poètes, romanciers ou biographes traduits de l’arabe vers d’autres langues pour évoquer la guerre qui n’a cessé depuis 1975 au Liban et en particulier à Beyrouth. Elle aborde ensuite la traduction, comme activité universitaire ou professionnelle, mais surtout comme symbole de paix. Enfin, elle parle d’une sainte guerre menée par la traduction dans le système éducatif et qui vise à apprivoiser la traductologie.