Résumé : La représentation de la mort volontairement infligée est rare, dans les récits de la Grande Guerre, où elle se cantonne pour l’essentiel aux scènes d’assaut. À chaque fois, elle fait l’objet d’une effervescence axiologique notable : c’est que, dans le corps à corps, une fureur guerrière se réveille, qui rapproche le soldat de l’assassin. Comment résorber cette équivalence ? De l’effroi pacifiste à l’exaltation épique, les réponses varient…