Résumé : Leur engagement politique contre le régime de Juillet et leur inscription dans un contexte européen de vulgarisation scientifique ne suffisent pas à apparenter les Physiologies parisiennes des années 1840 à de la prose d’idées. Ces études de mœurs proches de la presse satirique détournent leurs propres structures cognitives pour manifester une forme d’expertise décalée et parodique, sollicitant la dimension créative et contre-idéologique permise par l’indétermination générique de l’essai.