Résumé : Publié en 1986 par Maryse Condé, le roman a ouvert de nouvelles voies d’exploration qui continuent de nourrir les propositions narratives caribéennes francophones. Première mise en fiction du « je » de l’esclave dans le cadre d’une autobiographie fictionnelle, le roman propose l’imagination comme discours compensatoire au défaut d’archives et de visibilité du vécu des esclaves.