Résumé : Les textes de Chevillard mettent souvent en jeu la lecture, sous forme de personnages, de situations ou de structures. Logiquement, il en est venu à jouer le jeu autrement, dans sa chronique du Monde et dans son blog, tirant à vue sur les auteurs qu’il n’aime pas comme dans Démolir Nisard, ou cherchant, dans les auteurs qu’il aime, les codes d’un savoir-vivre qui n’a rien d’un manuel de bonnes manières mais propose plutôt un « camp d’entraînement à la lutte poétique armée contre l’ordre du monde ».