Résumé : Sous le régime de l’Édit de Nantes, le statut d’Érasme est pour le moins complexe. Si son prestige scientifique perdure, les protestants se le figurent sans trop de peine en victime de l’Église romaine, tandis que les catholiques le regardent avec méfiance ; de son œuvre, ils retiennent la grammaire, non la théologie.