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Classiques Garnier

Présentation des auteurs

  • Type de publication : Article de collectif
  • Collectif : Entrer en communication de l’âge classique aux Lumières
  • Pages : 341 à 343
  • Collection : Les Méditerranées, n° 6
  • Thème CLIL : 3378 -- HISTOIRE -- Histoire générale et thématique
  • EAN : 9782812444432
  • ISBN : 978-2-8124-4443-2
  • ISSN : 2264-4571
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-8124-4443-2.p.0341
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 21/02/2013
  • Langue : Français
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Présentation des auteurs

Marie-Laure Acquier est agrégée d’espagnol, ancien membre de la Casa de Velázquez de Madrid et maître de conférences à l’université de Nice Sophia-Antipolis. Elle est membre du LIRCES-EA 3159. Ses recherches portent sur la littérature d’idées dans l’Espagne des xvie et xviie siècles. Elle a dirigé plusieurs numéros des Cahiers de Narratologie.

Anne Baillot est ancienne élève de l’ENS d’Ulm, agrégée d’allemand et docteur en études germaniques. Elle a consacré sa thèse à la pensée esthétique de K.W.F. Solger. Elle travaille depuis lors à Berlin-Potsdam. Coéditrice de l’édition bilingue de Frédéric II entre 2005 et 2011, elle est actuellement chef de projet junior à l’université Humboldt de Berlin sur les réseaux intellectuels berlinois autour de 1800.

Jean Boutier est directeur d’études à l’EHESS. Après avoir consacré ses premiers travaux à l’histoire sociale et politique de la France moderne, il a étudié les aristocraties italiennes, les structures politiques et la vie intellectuelle de la péninsule, s’orientant vers une histoire comparée des sociétés européennes, en particulier l’histoire des cultures nobiliaires et des formes de la communication savante.

Alain Cantillon est maître de conférences habilité à diriger des recherches en littérature française du xviie siècle à l’université Paris – Sorbonne Nouvelle. Membre du Groupe de recherches interdisciplinaires sur l’histoire du littéraire, il consacre ses recherches à Pascal et Port-Royal ainsi qu’à la sémiologie des événements d’énonciation.

Florence Catherine est agrégée d’histoire. Elle a soutenu en 2009 une thèse intitulée « La Pratique et les réseaux savants d’Albrecht von Haller (1708-1777), vecteurs du transfert culturel entre la France et les

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espaces germaniques au xviiie siècle », qui a obtenu le prix de thèse de la Société française d’histoire des sciences et des techniques.

Charles-Henri Depezay, professeur certifié en histoire-géographie, a soutenu, en novembre 2008, une thèse de doctorat en histoire moderne intitulée « Intellectuels et pouvoirs au cœur de l’Aufklärung. Georg Christian Crollius (1728-1790) et ses relations ». Ses recherches s’intéressent aux élites intellectuelles des Lumières, notamment dans l’Empire, et à leurs relations, souvent ambiguës, avec le pouvoir politique.

Matthieu Gellard est agrégé d’histoire et docteur de l’université Paris-Sorbonne. Sa thèse de doctorat s’intitule : « Une reine épistolaire. Les usages de la lettre et leurs effets dans la politique diplomatique de Catherine de Médicis, 1559-1589 » (2010). Il a publié plusieurs articles sur l’épistolarité politique à la Renaissance, les pratiques politiques et diplomatiques au xvie siècle.

Kenneth Loiselle est professeur d’histoire à Trinity University (San Antonio, Texas) et chercheur associé au Centre de la Méditerranée moderne et contemporaine à l’université de Nice Sophia-Antipolis. Il a publié des articles scientifiques sur divers aspects de l’histoire culturelle de la France au siècle des Lumières et termine un livre sur l’amitié dans la Franc-maçonnerie sous l’Ancien Régime et la Révolution.

Gilles Montègre, agrégé d’histoire, est maître de conférences à l’université Grenoble II et chercheur au Centre de recherche en histoire et histoire de l’art, Italie – pays alpins. Ses recherches portent sur l’histoire des sciences, des savoirs et des circulations savantes entre la France et l’Italie au siècle des Lumières. Il a publié La Rome des Français au temps des Lumières (Rome, 2011).

David Rousseau achève son doctorat sur « Les collectionneurs et les collections dans le royaume de Sardaigne du Baroque aux Lumières » sous la direction de Pierre-Yves Beaurepaire à l’université de Nice Sophia-Antipolis. Ses recherches portent sur la constitution des collections privées et des collections ducales puis royales, en s’attachant à décrire les réseaux et les conditions de l’accumulation des objets.

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Geraldine Sheridan est professeur émérite à l’université de Limerick en Irlande. Elle dirige le Eighteenth Century Research Group qui réunit tous les chercheurs de la région dans ce domaine. En 1989, elle a publié la première monographie consacrée à Lenglet Dufresnoy, et travaille depuis dans de nombreux domaines de l’histoire culturelle et intellectuelle.